trop con les test facebook!!
apparement je suis le meilleur pote de tt le monde suis craquant j'me pécho tte les nanas que je veut et tt et tous mais c'est pas vré comment ce fess??
suis sur que c mon coté psychotique qui repond aux qch et fausse les test.......^^
Lames, Femmes,
Lame image d'un corp,
Lame image de fantasme,
Tu me fait vibrer,
Et vas me faire chanter.
Sortie tout droit de l'enfer,
Toi, muse des forges,
Tu me fais batre le fer,
Et chanter à pleine gorge.
Sous l'amour de mes marteaux,
C'est ton ame qui s'éllabore,
De cet acte tout ce qu'il y a de plus beaux,
Tu prend forme et éssor.
Pleinne et généreuse,
Vos formes nous charment;
Mais, c'est de votre fil le plus fin,
Que vous usez de nos mains.
Lames et femmes
Vous nous tennez sous le charme
Mais sous votre générosité
Ce cache une face a ne pas oublier.
Ca fait longtemps que de par le monde,
L'Homme secherche,se sonde,
Le petit ,le beaucoup il l'a,
Mais le millieux qui letrouvera?
Combat
C'est de nos coeurs que vient la vie,
De la nature la leçon,
De nos têtes l'horreure,
De nos yeux le pardon.
Mort
Mais de tous cela ce sont,
Ceux que l'on noment Fous qui ont raisons
De leurs folie ressort le génie,
Car c'est leur introspection qui , le leur appris.
Espoir
Du mot respect reste-t-il quelque chose?
De nos paroles franchise disparut,
Il nous faut ramener en osmose,
Paroles ,et personnalité déchu.
Respect
De l'amour que nous croyons connaitre,
C'est de nos cendres chaque fois qu'il faut renaitre,
Et pourquoi pas autour d'une bonne bouteille sans paraitre,
Tout simplement apprendre a nous connaitre.
Recherche
Coup de coeur sur une de mes passion...Partager
Pendant plus de trente ans j'ai lutté sans relache
Pour façonner le fer sous mes marteaux pesants
Mais je le sens enfin, j'ai terminé ma tâche
Je dois céder, hélas, accablé par les ans.
A ce rude métier, j'ai travaillé sans plainte
Il a donné du pain à mes enfants nombreux
L'hiver pouvais venir, je la bravais sans crainte
Mon pénible labeur les rendais tous heureux.
Adieu mes chers amis, mon soufflet, mon enclume
Adieu mon vieil étau, mon atelier noici
Ma forge qui le soir comme un phare s'allume
Adieu vous qui faisiez ma joie et mon soucis.
Le matin quand a voix de la cloche sonore
Appelais dans les champs les vaillants travailleurs
J'étais déjà debout près de vous dès l'aurore
Et les jours d'atelier étaient bien les meilleurs.
L'aube ne verra plus les rouges étincelles
jaillir sous mon marteau qui frappait tour à tour
C'est en vain que viendrons les semailles nouvelles.
Je ne forgerais plus l'instrument du labour.
Bien des nuits sans sommeil ont troublé mon front blême.
Mais sivous m'aviez vu morose et faiblissant,
N'étais-je pas joyeux quand la muse que j'aime
Venait à mon foyer se chauffer en passant.
Sa présdence rendait mon bras plus énergique.
Je forgeais en chantant des outils et des vers.
Et je t'aimais bien plus, cher atelier rustique,
Toi qui m'a fait braver les jours les plus amers.
Jules Pluchonn, forgeron
Homage à Richard Desvallières CFDD